La parité n’a pas gagné le monde de la photographie, et les clivages sexuels hommes/femmes oblitèrent encore souvent la reconnaissance d’une œuvre en agissant comme critères de validation ou d’invalidation du travail photographique des artistes.
Internet semble aujourd’hui pouvoir pallier ces discriminations, notamment par la réorganisation des conditions de visibilité et de légitimation du travail des femmes photographes.
Le Centre européen de l’image, icôn, en développant depuis décembre 2001 les concepts de « cybervernissages ®» et de « cyberexpositions », ouvre la voie à de nouveaux usages des réseaux électroniques par les photographes. En facilitant l’émergence d’une nouvelle triangulation dynamique entre l’artiste, l’œuvre et son spectateur, ces « cyberévénements » permettent de dépasser les critères d’appartenance sexuelle de leurs auteure(s).
Lire tout l'article sur axelibre.org
Internet semble aujourd’hui pouvoir pallier ces discriminations, notamment par la réorganisation des conditions de visibilité et de légitimation du travail des femmes photographes.
Le Centre européen de l’image, icôn, en développant depuis décembre 2001 les concepts de « cybervernissages ®» et de « cyberexpositions », ouvre la voie à de nouveaux usages des réseaux électroniques par les photographes. En facilitant l’émergence d’une nouvelle triangulation dynamique entre l’artiste, l’œuvre et son spectateur, ces « cyberévénements » permettent de dépasser les critères d’appartenance sexuelle de leurs auteure(s).
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